On parle souvent des startuppers.
Rarement des repreneurs.

Pourtant, en Suisse, des milliers d’entreprises cherchent une relève.
Solides. Rentables. Humaines. En quête d’un(e) dirigeant(e) qui veut faire différemment, pas faire mieux que tout le monde.

Reprendre, ce n’est pas hériter.
C’est décider de ne pas partir de zéro.
C’est éviter l’épuisement des débuts… sans renoncer à l’aventure.

Ceux qui reprennent ne cherchent pas à briller.
Ils cherchent à construire.
Et souvent, ils y arrivent plus vite qu’ils ne l’auraient imaginé.